vendredi 22 avril 2011

Faire de la politique pour une pension!

Je ne suis pas dupe, plusieurs le font, mais prétendre que l’ensemble des politiciens- politiciennes le font, il y a une marge. Devenir politicien, c’est mettre sa vie sur la table, c’est étaler au grand jour toute ta vie et des déboires. En signant ta déclaration d’intérêts, tu ne peux plus reculer et cacher quoi que ce soit, car, tôt ou tard, le squelette sortir du placard. Les amis d’autrefois deviennent des ennemis, car ils n’ont pas la même allégeance politique, des citoyens te jugeront sans même te connaître et les membres de ta famille subiront involontairement ta prise de position. Faire de la politique pour une pension c’est ridicule, car, ont ne sais jamais quand le vent va tourner, chanceux ceux et celles qui peuvent prendre une année sabbatique pour faire de la politique active en tentant de se faire élire. Dans la défaite,ils auront toujours un emploi garanti. Mais quand vous perdez et que vous n’avez pas cette pension toujours décriée par méconnaissance, vous vous retrouvez avec rien. Les amis ne redeviendront pas des amis, les portes politiques des autres partis resteront closes à tes demandes et finalement tu sombreras dans l’oubli le plus total.

Faire de la politique pour une pension, ce n’est pas réaliste, car tes activités de circonscription électorale, tes rencontres citoyennes, ton temps au Parlement et finalement les déplacements rendent la vie opprimante et solitaire. Il y a dans la politique des pommes pourries comme dans tous les corps de métier, mais j’ai rencontré des hommes et des femmes dédiés à leurs causes, fidèles à leur allégeance politique et fermement résolus à faire évoluer les choses. La politique au fédéral est autre chose, après 6 ans de vie politique les députés ont droit à leur pension à partir de l’âge de 55 ans. Pour le provincial, c’est 4 % de ton salaire que tu cumules afin de pouvoir prendre ta pension le jour de la défaite. Donc après 4 années comme député au provincial, un individu pourrait avoir une pension d’environ 16,000 $ à vie et ainsi de suite jusqu’au plafonnement du salaire d’un député. Donc même après 3 mandats ou 12 années de services à l’état, un député à la retraite ne roulera pas sur l’or.

Durant ces douze années, il y aura eu 3 campagnes électorales 96 commissions parlementaires, et des heures de bureaux de comtés. Plus de 360,000 poignées de main, 24000 discours de toutes sortes, 150 bingos, 36 soupers spaghetti et 1800 repas dans des clubs de l’âge d’or. Un député c’est une vie de dévotion, de complicité avec tes proches, de résignation politique, car tu n’as plus ou, peu droit à tes idées et c’est une vie dédiée aux mieux-être de ta population. Il y aura des bévues, des erreurs, des polémiques de toutes sortes, mais si ton but reste celui de faire avancer les choses alors tu es un vrai politicien, les autres ne seront que des chauffeurs d’autobus.

vendredi 15 avril 2011

Une campagne électorale sous Muguette Paillé.

Probablement, que jamais nous n’aurions entendu parle de ce petit village de la Mauricie si le hasard n’avait mis Mme Paillé dans la bouche de M Ignatieff. Pour paraître près des préoccupations des gens, ce dernier a repris de façon répétitive le nom de Mme Paillé afin d’insister sur des points de son programme électoral. Il n’a aucunement gagné ce débat, mais il a créé involontairement le buzz médiatique. Tous les éléments étaient en place pour créer le phénomène Muguette Paillé. Un environnement simple et épuré, une cuisinière nous rappelant notre enfance, et une question directe venant d’un visage sympathique. De façon habile, ou irréfléchie, nos panélistes se sont servi de ce nom facile à se rappeler pour se montrer sensibles au questionnement de Muguette afin e placer les mots clés du programme de parti. Les faiseurs d’images se sont rapidement emparés du phénomène créé sur les réseaux sociaux afin d’utiliser habilement l’image projetée. De revoir le visage de M Ignatieff téléphonant à Muguette afin de s’enquérir de ses préoccupations, démontre à quel point la presse s’empare d’une histoire banale et en fait une nouvelle habilement ficelé.

La réalité, qui nous avait échappé collectivement, nous a ouvert les yeux sur une réalité rurale et sociale. Les milieux dévitalisés, l’isolement des villages loin des préoccupations des politiciens et politiciennes, l’âgisme de la population sont des éléments totalement oubliés dans une campagne électorale. Un simple feu de paille a dégénéré en catastrophe, qui aujourd’hui fera référence. Tout ce brouhaha nous fait prendre conscience de certaines questions existentielles qui seront électoralement reprises, afin de récupérer certains votes. Qui a été le plus sympathique à Muguette? Qui est le plus près de la population? Qui serait en mesure de répondre concrètement à ce questionnement? Les twitter attitrés à chacun des partis politiques, ont pris action à faire bien paraître leur candidat afin de profiter pleinement de ce moment de gloire instantané. Comme la campagne est terne et sans grand rebondissement, la presse tout entière s’est jetée sur Muguette qui ne comprend pas ce qui se passe. Le dépanneur du village n’a jamais vendu autant de bouteilles d’eau, les camions de télévisions et les journalistes ont été dépêchés sur les lieux afin de préparer le topo. Le nom du village est passé pour la première fois aux nouvelles de fin de soirée. Mme Paillé trouvera t’elle un emploie, y aura t’il une fin heureuse pour le village? C’est ce que nous saurons lors du prochain épisode de la télé-réalité vivre en Mauricie la réalité de Muguette Paillé. Nous n’avions rien de bien croustillant à nous mettre sous la dent et la politique est fade et édulcorée, maintenant il y aura notre boisson énergisante Muguette Paillé. C’est mignon comme histoire, et cette dernière sera reprise comme référence de la campagne électorale actuelle lors du dévoilement des résultats. Les analystes y feront référence afin d’appuyer leurs dires lors du résultat du scrutin. Quand nous prétendons que la presse influence largement la décision des indécis, nous en aurons le plus bel exemple en fin de campagne. Merci mon Dieu, d’avoir mis Muguette sur notre chemin, la politique en avait bien besoin!

Claude Roy

Quand la pêche est une passion, il n’est jamais désolant de revenir sans poisson!

Cette phrase, la Fédération des chasseurs et pêcheurs devrait l’inclure comme maxime au lieu de dire et je cite (l’interdiction d’utilisation des poissons-appâts est essentielle pour assurer du succès aux amateurs de pêche) ce qui aura une incidence directe sur le nombre de pêcheurs. J’en ai été étouffé, depuis quand la capture de poissons est-elle essentielle dans la pratique du sport. La pêche n’est-elle pas une détente, un ressourcement avec la nature? Ne pratiquons-nous pas la pêche sportive pour l’euphorie que nous procurent ces moments d’évasion? Les pourvoiries qui se servent de la réintroduction de poisson à demande afin d’attirer la clientèle ont leur raison d’être, car les pêcheurs achètent du poisson pêché en nature plutôt que de l’acheter à l’épicerie. Cette activité a sa place dans le monde effréné dans lequel nous vivons. Certaines personnes n’ont ni la capacité de déplacement, ni les connaissances suffisantes pour capturer du poisson dit sauvage. Mais, que la fédération défende l’indéfendable sois, l’utilisation de poissons-appâts afin d’assurer des captures me dépasse complètement. Depuis plus de 30 années, je défends le principe de remise à l’eau, je dénonce la recherche du (quota obligatoire). Les pêcheurs de saumon ont compris, ils renoncent à conserver les grands saumons, ils ont une limite annuelle de capture et sont très sensible à tout phénomène pouvant affecter leur loisir. Les pêcheurs d’achigan ne conservent que très rarement leurs prises, ils pratiquent un sport, un loisir, ils vivent de bons moments en nature avec des amis (es).

Alors pourquoi les pêcheurs de doré, de brochet, ou de truite, devraient-ils toujours penser que le succès d’un voyage de pêche et l’activité sportive qu’est la pêche se décrivent en nombre de capture? Ces mêmes pêcheuses à l’appât naturel n’ont-ils pas pollué plusieurs plans d’eau du Québec avec leur approche de viandard? La Fédération des chasseurs et pêcheurs du Québec, ces champions- professeurs, créateurs de tous les cours obligatoires qui emmerdent et compliquent la vie des amateurs de chasse et pêche devrait créer un nouveau cours sur la capture des poissons difficiles.

Les compagnies qui vous aident dans vos activités vont être fières de voir que les leurres de pêche ne servent strictement à rien et que seuls les poissons-appâts sont gage de succès. Les magasins dont les murs sont remplis de leurres de toutes sortes aux formes bigarrées et odeur techniquement développée vont également être très fiers de cette prise de position de votre part. Dorénavant, nous n’avons plus besoin dans les magasins spécialisés, que des bassins où se retrouveront les appâts vivants pour qu’ainsi nos pêcheurs puissent enfin faire un voyage de pêche en étant assuré de revenir avec leur limite.

Bravo les amis, belle approche pour la relève qui aime bien apprendre des aînés, belle initiative de la part d’une Fédération aux règles si strictes! Ce matin, vous n’avez pas marqué des points dans l’évaluation des principes de saine gestion des ressources. Donc pêcheurs en mal de poissons, la nature n’a plus d’importance, les vacances non plus, le seul but de la pêche sera maintenant selon la Fédération des chasseurs et pêcheurs du Québec la capture à tout prix. Félicitations, vous êtes le parfait exemple de la bêtise humaine, donc si je suis le raisonnement, nous devrons tous tuer notre orignal et notre cerf de Virginie en plus des dindons et perdrix pour qu’enfin nous rentabilisions ce permis qui nous coûte si cher. Tous ensemble revenons à l’âge de pierre,nous devons nourrir nos familles!

mercredi 13 avril 2011

Le désintéressement de la politique par la population.

Ce matin, une station de Québec a fait un sondage éclair dans un cégep et un centre commercial. Le résultat de ce sondage non scientifique je l’admets, est tout de même troublant. Plus de 50% des gens sondés ne connaissent pas le nom des chefs de partie politique et encore moins le parti qu’ils ou elle représente. Nous avons des gouvernements provinciaux et un gouvernement fédéral et nous n’en connaissons même pas les dirigeants. Cessez de me dire que c’est de la faute des politiciens qui sont tous des menteurs, des escrocs, des gens sans aucun sens commun. Ils nous représentent mal, ils sont déconnectés de la réalité et surtout ,qu’ils ne pensent qu’à leur pension. J’en dirais autant des syndicats et syndiqués qui n’attendent que leur pension en suivant à la lettre leur convention collective. Ont-ils un sens du devoir, un sens commun, un plaisir à faire leur travail, et surtout un dévouement pour les gens qui payent leur salaire? Ne répondez pas tous en même temps!

Si la classe politique est comme elle est, c’est que nous exigeons sans arrêt plus de services gratuits, plus de liberté, moins de contraintes et surtout une sécurité que nous ne pouvons plus nous payer. Si nous demandons la moindre restriction, restructuration, ou encore, un léger changement d’idéologie, les tireurs embusqués tirent sur tout ce qui bouge. Ce matin, nous parlions d’évaluation des professeurs mais, voilà un autre sujet tabou. J’en ai eu un ou deux, même trois qui m’ont fait chier tout le long de mes études, vous en avez eu également inutile de le cacher. Mais en bon syndiqué, nous protégeons ces pommes pourries qui polluent tout le potentiel des jeunes qui se cherchent des héros.

Le phénomène de pas dans ma cour, ne m’enlever rien à moi, coupez ailleurs que dans mes acquis. Donc les politiciens comprennent votre message et c’est collectivement que nous paierons pour ces privilèges. Ils ne peuvent tenir leurs promesses, car cela sera trop coûteux et ensuite nous les traiterons de menteurs. Nous sommes, et serons responsables de la faillite qui est à nos portes et ce sera là que nous reconnaîtrons les vrais battants. Ceux qui ont vu clair, les visionnaires qui ont eu la tête tranchée à la première frasque.

Vous ne croyez plus en vos politiciens, devenez vous-même le nouvel élu, allons, un peu de courage, il n’y a pas d’emploi garanti, vous serez jugé sur vos performances et vous finirez seul à la fin de la bataille. La politique est sans goût, elle est fade, sans intérêt! Elle est à l’image de votre vie, ne changez rien à cette dernière, vous deviendrez amer et complaisant, c’est plus facile que de débattre et de se battre pour un idéal. Gagnez vous-même votre bataille, affirmez-vous, soyez honnêtes envers vous-même et les autres et ainsi nous pourrons avoir des politiciens qui nous ressemblent.

Claude Roy

mercredi 6 avril 2011

Gilles le sauveur!

C’est durant une campagne électorale que l’on reconnaît ceux et celles qui ont un talent oratoire. Notre bon et ultime défenseur Duceppe en remet tous les jours, hier alors qu’il visitait la Gaspésie, il a remis sur le dos du fédéral l’état pitoyable des ports de pêche. Tout doit être refait, amélioré, afin d’aider ses pauvres gens à gagner leur vie. La veille, il défendait l’indéfendable dans le dossier de l’amiante, mettant ainsi un bémol sur le discours de Pauline Marois et l’utilisation sécuritaire de l’amiante. Il passe dans un comté et lapide le député indépendant Arthur, il va dans un autre et il parle de mauvais traitement de dossier en ce qui regarde l’amphithéâtre. A-t-il des solutions, des projets, des promesses à faire? Comme il ne sera jamais au pouvoir, il sera comme tous ceux et celles qui votent aveuglément pour le bloc, des éternels empêcheurs de tourner en rond.

Ils veulent séparer le Québec du reste du Canada, voici la seule promesse qu’il devrait faire, nous ferons la souveraineté c’est la promesse que je vous fais à vous mon peuple à genoux!

Si vous nous donnez le contrôle complet du Québec, nous isolerons nos semblables contre tout désir d’aller voir ailleurs qu’ici. Nous confinerons nos idées dans l’espace clos du Québec. Nous sommes assez riches pour faire nos ponts dont je décris l’état depuis le début de la campagne. Nous développerons nos ressources naturelles, en n’oubliant pas que la majorité de ces ressources sont dans des territoires fédéraux où vivent les autochtones. Croyez-vous vraiment que les autochtones veulent vivre sous le joug indépendantiste? En récupérant tous nos impôts et taxes comme état indépendant, nous pourrons équilibrer les 9 milliards que nous donne le reste du Canada en péréquation.

Peuple sans éducation, faites-nous confiance! Nous sommes la voix que vous n’avez jamais eue! Nous sommes l’équipe salvatrice qui vous libérera de ces vilains anglophones. Sans nous vous n’êtes rien, vous êtes des esclaves du fédéraliste et jamais vous n’aurez la joie de vivre en harmonie avec vous-même.

Nous sommes la critique officielle de la voix populaire, nous représentons chacun et chacune d’entrevous, ne le voyez-vous pas? En attendant, nous continuerons le combat pour la libération de notre peuple assiégé et nous le ferons avec diligence et sincérité. Nous refuserons tout salaire de ce peuple démoniaque qui nous isole de plus en plus. Les Canadiens nous détestent et nous n’accepterons rien de ce que les Canadiens voudront bien nous offrir. Mais en attendant le combat final, nous encaisserons tout de même notre salaire, car il faut bien vivre dans cette démocratie. Nous demanderons un autre mandat afin de critiquer encore pendant 4 ans et ainsi avoir droit à ma pension du fédéral pour le reste de mes jours. Regardez dans mes yeux bleus, ils sont les seuls dans lesquels vous y verrez la vérité, nous sommes en place uniquement par devoir de défendre vos intérêts et nous n’avons aucun intérêt à être là, sans un mandat fort et aveugle. Moi Gilles je suis la vérité, la vie, le sauveur, le seul défenseur de nos valeurs québécoises, mais moi je vis dans un monde d’hypocrite qui m’a malheureusement corrompu. Pardonnez-moi et votez pour mon équipe, ma famille a besoin de ma pension fédérale pour s’épanouir au sein d’un Canada divisé mais, d’un Québec souverain.

Saint-Gilles montrez la lumière à ceux qui sont aveugles! / Claude Roy

samedi 2 avril 2011

Vous en vouliez des promesses, vous serez servi. Par Claude Roy

Nous arrivons enfin à ce premier avril que plusieurs craignent, car, il y aura de bonnes et de très mauvaises blagues en cette journée de poisson d’avril. Pour les électeurs que nous sommes, nous attendions d’entrer dans la valse des promesses et le tango des controverses. Nous y voilà, mais, nous serons déçus, car, toutes les fois qu’une promesse arrive, les détracteurs s’y attardent pour la faire passer pour ridicule. Les stratèges des partis politiques redoublent de talents dans leur communiqué de presse et ils rêvent tous d’avoir la phrase assassine de la journée ou de voler le spectacle avec le premier point de presse du jour qui fera oublier les soubresauts de la veille. Toutes les campagnes électorales sont l’histoire d’homme et de femmes qui redoublent de talents pour que leur parti soit mis à l’avant-scène de l’actualité. C’est un jeu qui dépasse la majorité des électeurs- électrices que nous sommes.

Avant les élections, tout le monde disait que nous étions au bord du précipice, que l’argent se trouve dans la poche des pauvres contribuables que nous sommes. Mais, en ces jours de faste buffets électoraux, nous verrons arriver sur la table des plats hors de prix que les partis politiques nous invitent à déguster sur leur bras. Sans nous dire qu’avant de franchir la porte de sortie du buffet, nous devrons payer pour notre participation à la fête. Vous en voulez des annonces, des cadeaux, des vœux pieux, chacune des formations politiques vous en fera voir de toutes les couleurs. Le bloc que je ne considère pas comme une formation politique canadienne, car elle ne représente que les intérêts du Québec n’offrira rien, car elle ne peut que critiquer, quémander sous le couvert de la défense de nos intérêts.

Quand chacune des provinces canadiennes aura une formation dite nationale, représenté au fédéral et qui revendiquera les droits des citoyens de la province, alors là je reconnaîtrai le bloc. En attendant, il n’y a que la face du chef sur l’ensemble de l’œuvre. Partout, c’est Parlons Québec avec le sympathique visage du don Quichotte Duceppe.

Une promesse pour Terre-Neuve qui déplaît à Québec, mais, qui compensera pour les députés que nous perdrons avec le dossier émotif de l’amphithéâtre. Une promesse d’harmonisation de taxe qui arrive la même journée que le dossier de l’électricité, belle parade! Un milliard pour les étudiants, un autre pour les garderies, les libéraux prendront l’argent où? En coupant les subventions aux entreprises qui sont le moteur économique, bonne réaction! Mais malgré tout cela, Jack Layton fait cavalier seul, blessé, affaibli par la maladie, il sourit, parle un langage rassembleur et il est celui que nous souhaiterions tous. Mais, il faut aller à gauche toute, ou prendrons- nous l’argent pour toutes les mesures socialistes qu’il souhaite mettre en place? Selon les sondages, nous aimerions pouvoir l’inviter à souper sans toutefois le laisser décider du menu.

La deuxième semaine commencera avec les bourdes et bévues de chacun des partis qui durant la fin de semaine, accumuleront les sorties publiques. Encore une fois, je souhaite que chacun chacune d’entre-nous ait la logique d’avoir une grille d’évaluation constructive de pour et de contre afin de voir en fin de parcours qui des partis politiques aura marqué votre intérêt, réconforter vos craintes et changer votre perception négative des politiciens.

L’importance dans cette situation est de voter, pour ou contre les idées, pour un changement ou un statu quo pour un homme ou une équipe.