dimanche 24 octobre 2010

La servitude des enfants aux milles excuses.

Un débat qui refait surface depuis un certain temps est celui des enfants parfaits. Nous n’avions pas ce complexe, nos parents non plus. De nos jours les enfants qui bougent, discutent, ou chahutent, sont des enfants que l’on doit contraindre, car ils brisent le silence. Autrefois, nos parents nous dictaient la marche à suivre dans la vie et l’école nous rappelait les principes à respecter. De nos jours, l’enfant roi ou devrais-je dire l’enfant -empereur, dicte les lois à ses parents qui écoutent avec diligence les revendications de ces enfants que l’on regarde grandir. Ils sont la vérité, l’amour inconditionnel des parents face à ces enfants qui dictent leurs désirs sous le regard impuissant de ces mêmes parents sans colonnes vertébrales.

La peur du jugement des autres pousse ces mêmes parents à soustraire à leurs enfants les affres de la vie moderne. Ils achètent la paix avec des ordinateurs et assurent la proximité en offrant un cellulaire. Ils veulent et souhaitent la tranquillité, donc, ils ne sévissent plus sous le couvert hypocrite de l’amour.

Nos enfants- empereur sont intelligents, beaucoup plus que nous l’étions. Ils sont manipulateurs, fourbes et sans âmes, car ils n’ont pas eu d’exemple et ne savent pas la définition de ce qu’est le respect. Ils entendent les discussions décriant la vie, jugeant les autres sous de fausses valeurs et utilisant le mensonge à répétition sous le prétexte de la diplomatie. Nos enfants sont le reflet de ce que nous sommes.

Nos petits empereurs sont parfaits, les parents endossent maladroitement ce phénomène. Ils ne punissent plus, ne dictent plus les principes, et n’obtiennent que rarement le respect. Ces mêmes parents repoussent à l’école le soin de la discipline, mais n’acceptent pas que l’enfant soit puni. Ils crient à l’injustice et à l’incompétence de la personne qui a sévi. La société est malade tout comme nos enfants que l’on médicamente afin d’avoir la paix. Nous n’étions pas parfaits, nos parents non plus, et nous avons grandi avec des valeurs que l’on aimerait rejeter aujourd'hui, mais quand on y pense, nous n’avons rien de mieux à proposer.

Un peu de courage SVP.

Nous souhaitons tous voir des changements dans notre merveilleux monde politique. Les groupes actuels en formation discutent, nous devons agir. Les gens ordinaires ont des idées et il faut écouter. Des solutions simples et non simplistes, de la rigueur dans le travail à faire et une conviction inébranlable dans nos choix de solutions. Pour une troisième voix est à l’étape d’une première rencontre de discussion et d’élaboration d’un plan politique. De nombreux acteurs de tous les domaines seront présents et c’est seulement après cette réunion qu’une décision sans appel sera prise sur les possibilités de création de ce nouveau parti de droite. Aujourd'hui certains ténors du PQ d’autrefois sont venus nous dire qu’ils sont en réflexion. Nous discutons depuis des années sur les choses qui doivent changer. Ils étaient tous de cette équipe de députés qui ont abusé de leur pouvoir pour mettre le Québec dans la situation actuelle et ils voudraient que l’on croie encore à leurs promesses.

Il y a bien d’ADQ d’autrefois, mais pourquoi, le navire se vide t’il de ses matelots. Nous devons être à droite toute, la barre bien attachée afin de faire face à la tempête. Fini les tergiversations, les promesses non tenues et le mal de dos à force de courber l’échine. Ce n’est pas une guerre, mais un combat pour combattre la dette, l’insouciance des politiciens face à leurs devoirs, de la franchise avec l’électorat.

Une force politique nouvelle, loin des dangers de corruption qui guette, une force qui aura de la difficulté à trouver son financement, mais qui devra réussir la ou les autres ont échoué. Si nous croyons en notre avenir, nous découvrirons des comptables, des fiscalistes, des avocats, des ingénieurs, des professeurs et des infirmières prêts à proposer des solutions gagnantes. Tous les corps de métier rassemblés autour d’une saine gestion syndicale. Fini les tordages de bras, d’intimidation, de collusion et trafic d’influence. Nous aurions la chance de n’être pas encore corrompus par le pouvoir, nous pourrions voir venir d’où souffle de vent des demandes amicales.

Ce ne sont pas les fonctionnaires qui sont en cause, c’est l’augmentation des cadres qui s’engouffrent dans les dédales du pouvoir. Ce sont les amis que l’on doit récompenser et qui viennent alourdir la machine qui peine à avancer. Ce sont des structures, des groupes, des réunions inutiles des agences de toutes sortes, et des décisions douteuses qui ont au fil des ans créé le monstre multi tête que représente la fonction publique actuelle.

Les infirmières ne soignent plus, les professeurs n’enseignent plus, ils discutent et participent à des réunions aussi inutiles que nombreuses. Leur force ne sert jamais, ils gèrent des crises internes. Nos impôts font du chemin! Mais à quel prix et surtout à qui va tout l’argent que nous investissons dans ces chantiers. Tout est pourri, admettons-le! Donc, réagissons, soyons prêts pour le prochain rendez-vous avec la population. Ne mentons jamais, n’achetons pas de votes! Restons fiers devant la meute et ne craignons pas les morsures. Je vous demande si oui ou non, nous agirons dans l’intérêt de nos enfants ou si nous courberons l’échine encore une fois en votant pour le mois pire.

C’est une question de courage, en avons-nous encore!

jeudi 7 octobre 2010

Un peu de courage SVP.

Nous souhaitons tous voir des changements dans notre merveilleux monde politique. Les groupes actuels en formation discutent, nous devons agir. Les gens ordinaires ont des idées et il faut écouter. Des solutions simples et non simplistes, de la rigueur dans le travail à faire et une conviction inébranlable dans nos choix de solutions. Pour une troisième voix est à l’étape d’une première rencontre de discussion et d’élaboration d’un plan politique. De nombreux acteurs de tous les domaines seront présents et c’est seulement après cette réunion qu’une décision sans appel sera prise sur les possibilités de création de ce nouveau parti de droite. Aujourd'hui certains ténors du PQ d’autrefois sont venus nous dire qu’ils sont en réflexion. Nous discutons depuis des années sur les choses qui doivent changer. Ils étaient tous de cette équipe de députés qui ont abusé de leur pouvoir pour mettre le Québec dans la situation actuelle et ils voudraient que l’on croie encore à leurs promesses.

Il y a bien d’ADQ d’autrefois, mais pourquoi, le navire se vide t’il de ses matelots. Nous devons être à droite toute, la barre bien attachée afin de faire face à la tempête. Fini les tergiversations, les promesses non tenues et le mal de dos à force de courber l’échine. Ce n’est pas une guerre, mais un combat pour combattre la dette, l’insouciance des politiciens face à leurs devoirs, de la franchise avec l’électorat.

Une force politique nouvelle, loin des dangers de corruption qui guette, une force qui aura de la difficulté à trouver son financement, mais qui devra réussir la ou les autres ont échoué. Si nous croyons en notre avenir, nous découvrirons des comptables, des fiscalistes, des avocats, des ingénieurs, des professeurs et des infirmières prêts à proposer des solutions gagnantes. Tous les corps de métier rassemblés autour d’une saine gestion syndicale. Fini les tordages de bras, d’intimidation, de collusion et trafic d’influence. Nous aurions la chance de n’être pas encore corrompus par le pouvoir, nous pourrions voir venir d’où souffle de vent des demandes amicales.

Ce ne sont pas les fonctionnaires qui sont en cause, c’est l’augmentation des cadres qui s’engouffrent dans les dédales du pouvoir. Ce sont les amis que l’on doit récompenser et qui viennent alourdir la machine qui peine à avancer. Ce sont des structures, des groupes, des réunions inutiles des agences de toutes sortes, et des décisions douteuses qui ont au fil des ans créé le monstre multi tête que représente la fonction publique actuelle.

Les infirmières ne soignent plus, les professeurs n’enseignent plus, ils discutent et participent à des réunions aussi inutiles que nombreuses. Leur force ne sert jamais, ils gèrent des crises internes. Nos impôts font du chemin! Mais à quel prix et surtout à qui va tout l’argent que nous investissons dans ces chantiers. Tout est pourri, admettons-le! Donc, réagissons, soyons prêts pour le prochain rendez-vous avec la population. Ne mentons jamais, n’achetons pas de votes! Restons fiers devant la meute et ne craignons pas les morsures. Je vous demande si oui ou non, nous agirons dans l’intérêt de nos enfants ou si nous courberons l’échine encore une fois en votant pour le mois pire.

C’est une question de courage, en avons-nous encore!

mardi 5 octobre 2010

La gauche ou la droite, qui a raison?

Nous devrions parler de raison et non pas de passion quand nous parlons de la droite. Pour ce qui est de la gauche, ce sont nos acquis, notre bien-être, nos enfants, et nos mesures sociales. À l’époque où le parti Québécois a commencé à parler de séparation, le Québec s’est donné toutes les structures administratives afin de prévenir le lendemain de veille. Nous avons doublé chacun des ministères fédéraux afin d’en arriver à L’autonomie gouvernementale et administrative. Nous pourrions ainsi prévenir pour les mauvais jours qui allaient arriver. Aujourd’hui, nous sommes pris dans un dédale de fonctionnarismes qui alourdit nos mouvements et qui nous empêche de penser à demain. Bien que le PQ a toujours en tête son projet de société, la population est passée à autre chose, nous cherchons le juste équilibre entre notre désir de demeurer au sein du Canada et de sa confédération, tout en prônant notre identité linguistique. Nous espérons le respect pour des champs de compétence que nous considérons comme provinciaux et dont nous souhaitons être rois et maîtres.

La gauche représente la justice sociale, une étape importante de notre développement individuel, mais, elle nous coûte excessivement cher en programme de soutien et brime ainsi notre liberté nous rendant paresseux et peureux. Nous disions à l’époque que l’oisiveté était la mère de tous les vices, pouvons nous admirer le travail?

Des syndicats plus forts que jamais qui protègent non plus nos droits, mais qui servent à justifier le salaire des gens qui les dirigent. Plus de congés, moins de pression, plus de liberté et de loisirs, voilà la génération d’aujourd’hui. Pour nous les anciens, les vieux, les enfants gâtés des années 70, nous avons créé des conditions favorables à notre retraite. Du moins, c’est ce que nous disent les jeunes. Nous avons vécu sous l’ère des cartes de crédit que nous avons utilisées allègrement allant jusqu’à endetter le Québec d’aujourd’hui. En voulant trop bien faire afin d’obtenir des votes, nous avons acheté ces derniers avec de l’argent emprunté. Aujourd’hui collectivement nous devons rembourser tout en pensant aux erreurs commises. Pour gagner à nouveau la gauche fera des promesses qui nous paralyseront à jamais. Cette fois-ci, elle n’aura pas trop à le faire, car la population votera comme d’habitude, non pas pour le mieux, mais pour le moindre des deux.

La droite, c’est la raison et non la passion, le devoir avec une saine gestion du pouvoir. Elle représente ce que nous ne voulons pas, elle justifie ces actes par la pauvre situation économique dans laquelle nous sommes. Il faudrait réduire l’état, non pas les travailleurs, mais les cadres. Nous devrions devenir responsables et utilisateurs payeurs de certains biens, et ce, à leur juste valeur. L’éducation est importante, mais les jeunes ne veulent pas payer du moins pas trop, mais là encore c’est un paradoxe incroyable. Nous voulons des routes de qualités sans toutefois accepter de payer la note d’entretien. Des soins médicaux gratuits et rapides tout en refusant que les médecins gagnent aussi bien leur vie qu’un joueur de hockey. La droite a marché afin de demander au gouvernement de faire son ménage et d’arrêter de gaspiller notre argent et nous demandons maintenant un don de plus de 100 millions afin de pouvoir assouvir notre soif de spectacles et de sports. Notre ambivalence est remarquable, mais discutable, quand allons-nous prendre une décision sur l’avenir du Québec en laissant de côté nos émotions?

Gauche étatique, séparatiste et socialiste, droite sans émotion, sans passion, mais rationnelle, un choix s’impose! L’avenir de notre société est entre vos mains, faites disparaître la torpeur et les préjugés. Acceptez enfin de prendre des décisions difficiles, mais nécessaires. Il y aura un temps gris avant le retour des beaux jours, mais nous devons collectivement l’accepter afin de revoir un arc-en-ciel.

Claude Roy

lundi 4 octobre 2010

Quand une population se mobilise.

Nous n’avons pas l’habitude ici au Québec de voir des rassemblements populaires comme les deux derniers tenus à Québec en moins d’un an.

Celui des cols rouges qui a réuni pas moins de 50,000 personnes marchant sur la Grande Allée, et celui des plaines d’hier avec plus de 60,000 personnes.

Le premier demandant au gouvernement de faire le ménage afin de nous faire économiser de l’argent et ainsi payer la dette et celui d’hier demandant au gouvernement d’investir dans une infrastructure sportive multiculturelle.

Nous demandions au gouvernement de faire des économies et maintenant nous lui demandons d’investir dans le sport, toutes disciplines confondues.

Une marée rouge et une marée bleue, de quoi faire jouir les partis politiques qui se serviront allègrement de cette situation dans un avenir électoral prochain. Promettre de grands projets avec de l’argent emprunté c’est si facile. Tout débuta par la nécessité d’untel édifice pour la capitale nationale, le maire actuel, Régis premier, disait à la population, qu’il devait avoir un mandat fort si les gens voulaient un nouveau bâtiment sportif. La population a suivi son instinct et lui a donné ce qu’il demandait. Aujourd’hui, il tient promesse en allant de l’avant avec le projet coûte que coûte. Si la population accepte de payer collectivement la note des amateurs de sports, je n’ai pas de problème avec cela, pour ma part, ce sera ma contribution à l’émancipation sportive de mon fils. Les jeunes nous accusent nous les Baby-boomers d’avoir créé la situation actuelle, et que de financer cet édifice alors que nous sommes encore vivants serait un juste legs, j’accepte. Mais rappelons — nous que la mobilisation citoyenne a une portés importante et que les politiciens et politiciennes sont aux aguets de nos faits et gestes afin de nous manipuler avec des rêves souvent impossibles à réaliser.

Que les Nordiques reviennent faire l’actualité, que les pages de sports redeviennent rentables pour les journaux, je n’y vois rien de répréhensible,

Mais quand il est temps de voter pour que tous nos rêves se réalisent, nous laissons à une poignée de personnes le soin d’influencer notre vie. Devrions-nous voter tous ensemble sur les plaines pour chacun des engagements du gouvernement? Allons-nous enfin nous prendre en main comme les amateurs de sports le font? La France est dans la rue présentement afin d’influencer les politiciens sur des enjeux importants, mais attention, assurons-nous de faire la distinction entre des projets de société et des rêves socialistes ou individualistes. Ne cherchons pas l’appui populaire et le pouvoir de masse pour des revendications personnelles améliorant notre propre existence.

Sommes-nous sortis dans la rue pour une commission bidon qui nous coûtera 3000 sièges d’un nouvel amphithéâtre? Demanderons-nous collectivement une commission sur la corruption dans le domaine de la construction? Allons, peuple à genoux, rassemblez-vous et prouvez à ces gouvernements que notre avenir est aussi ou plus important que la venue d’un nouveau club de hockey. Ne soyons pas hypocrites, si la mobilisation est si importante pour la venue d’un nouveau de hockey, j’ose croire qu’une action semblable influencerait le débat pour l’avenir d’une population. Mais y aura t’il autant de couleurs dans la foule?

Claude Roy

dimanche 3 octobre 2010

Quand la vertu se cache sous les robes d’église.

Depuis quelque année et plus récemment, nous vivons au rythme des scandales religieux. Ma génération, celle des 55 et plus, sommes divisés, outrés et scandalisé par les récentes révélations. L’image de l’église est à jamais entachée par ces gardiens privilégiés qu’étaient les prêtres et à qui nos parents confiaient sans réserves leurs jeunes garçons. Nous comprendrons aujourd’hui qu’ils étaient en tout premiers lieux des hommes. Pour certains, ils avaient ce penchant pour une sexualité non avoué qui les conduisait vers le sacerdoce dans le dessin éhonté de cacher leur déviance sexuelle. À la lumière des dernières révélations, nous comprenons mieux maintenant certains gestes, paroles ou actes qui sont présents dans nos souvenirs et qui étaient à l’époque non perceptibles ces jeunes vivant dans la religion.

L’omniprésence de Dieu, celui qui voit tout, comment pouvait-il désavoué le geste d’un prêtre s’adonnant au viol intellectuel de sa jeune victime. La confession qui se voulait l’endroit rêvé des prêtres qui écoutaient le récit de ces jeunes garçons se masturbant et qui étaient alors l’ancêtre de la Web Cam d’aujourd’hui. J’imagine les actes posés dans ces isoloirs qui offraient aux prêtres pédophiles, l’identité de leur futur victimes. Ils connaissaient tout de ces jeunes qui confessaient leurs problèmes et qui venaient chercher dans le pardon de dieu un peu de réconfort. Ces vieux pervers se servaient de leur droit, de leur privilège pour dénaturer leur lien de confiance. Ils profitaient de leur pouvoir pour poser des gestes inavoués à l’époque par peur des représailles de l’église. La honte sur la famille qui n’avait jamais en tête l’idée que de tels gestes aient eue lieu. La confiance d’une population vivant encore sous le joug incestueux de l’église catholique avec sa toute puissance.

L’interprétation d’un enfant avouant à ses parents que l’homme d’église l’abusait sexuellement devenait impossible à dire. Les jeunes étaient pris entre l’autorité parentale qui croyait à l’église et qui avait peur de mourir dans les feux de l’enfer et l’homme en soutane noire qui représentait dieu et la vérité. Aujourd’hui qu’ils sont libres de prétendre le contraire, les victimes sortent de l’ombre afin de faire accuser les abuseurs mais ils demandent réparation. Que l’on paye pour des traitements, des psychologues, et de la réhabilitation soit, mais le débat est maintenant sur l’argent. Une vie brisée vaut quoi? Voilà l’actuel débat qui aura raison de notre croyance. Ils ne portent le vêtement religieux que dans les offices, mais sous la soutane colorée, reste l’homme imparfait qui risque à tout moment de tomber dans l’imaginaire des plus méfiants.

L’église est en crise, mais elle a couru après, elle n’a pas évolué, m’a pas cherché à se moderniser, et surtout n’a pas cherché à comprendre que l’homme a besoin de compagnie. En le laissant seul avec ses pensés et son imaginaire, il a cherché à assouvir ses désirs. Dieu l’a compris en donnant à Adam une compagne créant Eve, mais, l’église réfute l’action de Dieu

lui-même. En lui donnant une robe il cacha les instincts, maintenant nous comprenons mieux ce qui se cachait sous la robe noire.