mardi 28 septembre 2010

Quand les femmes deviennent leur propre instrument de torture.

Dans les prochains jours, les femmes se regrouperont sur différents thèmes dont la guerre en Afghanistan, l’éduction sexuel à l’école, le libre choix d’avoir un enfant, et le salaire minimum chez la femme. Loin de moi l’idée de vouloir discréditer le mouvement de l’égalité homme femme, mais ici, il n’y a rien qui va dans cette direction. Un groupe de femmes frustrées qui prétendent parler pour l’ensemble des femmes du Québec et qui passent littéralement à côté des vraies revendications.

La femme n’est pas un instrument de provocation, mais l’importance qu’elle donne à leur apparence nous porte à croire le contraire. Les émissions de télé ne leur donnent pas de chance car dans bien des cas, elles se retrouvent dans des situations délicates et conflictuelles. Elles ne veulent pas être des femmes objets, mais elles acceptent tout de même de jouer le rôle. La femme parfaite a un corps proportionné, une maison de rêve, un mari dont toutes les autres femmes rêvent et des enfants sans reproche. Elle est riche, précieuse et voyage beaucoup. Elle a le boulot de direction, elle décide de tout, et elle accepte la pression. Mais en fait il y a beaucoup de contradiction dans son langage, sa vie est rapide, beaucoup trop, entre le réveil, les enfants à la garderie, le boulot, le stress de tous les instants, les repas, le ménage, et la vie sociale, elle craque souvent sous le poids des heures qui passent.

Nous ne leur avons jamais demandé d’être parfait, nous ne le sommes pas et nous recherchions seulement une compagne agréable qui vivra une vie amoureuse comblée. La vie n’est pas facile et seul certaines rêveries permettent de prétendre le contraire. La fédération des femmes du Québec a sur son site Internet des messages ridicules et provocateurs qui choquent bien plus qu’ils ne servent la cause des femmes. Ces grands combats ne sont plus nécessaires de nos jours. Nous avons compris depuis bien longtemps quelle place importante elles occupent dans le monde. Nous reconnaissons leur pertinence dans l’économie, leur place prépondérante au sein de la famille, et leurs aspirations professionnelles. Les femmes qui vivent seules et qui croient que la société doit les soutenir sans réserve, doivent comprendre, qu’elle doivent se prendre en main, retrouver la fierté du travail et accepter la responsabilité d’avoir un enfant en tant que mère-célibataire. Elles doivent commencer par s’accepter.

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