Il n’y a pas si longtemps, le Québec comptait parmi ses rangs un jeune parti politique aux idées de droite plus pointues. L’ADQ de Mario Dumont était aux portes du pouvoir, mais un mauvais fonctionnement de la porte tournante propulsa l’équipe entière sur le trottoir. Nous y avons tous cru, nous étions si près d’un changement, si fier d’être politicien ou politicienne. La population décida que le changement ne venait pas assez vite et surtout que les promesses s’étaient transformées en mirage. La collusion des vieux partis a fait en sorte qu’aujourd’hui la population n’a plus de choix. Aucune solution à l’horizon, autant au fédéral qu’au provincial, la population votera pour le moins pire sans pour autant être représenté comme peuple. Le fédéralisme est important afin de conserver notre réputation internationale de terre d’accueil. Mais nous devons prendre conscience que notre avenir repose entre nos mains et que la peur du changement ne doit pas faire partie de l’équation. Il y aura, je l’espère, un parti de droite aux idées réformistes, novatrices, réalisables avec détermination et inébranlable face aux groupes de pression. Ce nouveau parti sera prêt à relever les défis, il travaillera dans l’intérêt de l’ensemble de la population et non pas celui de groupuscule idéologique.
Les questions seront posées, les actions seront proposées, mais il faudra cacher sa peur, et il faudra relever la tête et braver la tempête. Nous n’avons pas besoin de lologues pour nous dire que nous sommes des rêveurs. Nous croyons fermement à une réforme sociale, basée sur le respect et la dignité. Nous n’avons pas le droit en tant que baby-boomers de laisser l’économie dans l’état actuel sous le simple prétexte de dire que cela ne nous regarde plus. Nous avons voté pour les gouvernements qui nous ont placé dans la situation actuelle. fermé les yeux sur la corruption idéologie et financière en profitant largement de ce qu’elle nous a procuré. Nous sommes comme des vendeurs de drogue qui jouissent de leur argent, sans se soucier des drames humains qui se jouent dans la rue. Nous contribuons à la réhabilitation des junkies avec l’argent de la drogue que nous leur vendons.
Les idées de droite sont ce que vous voulez, ce que vous souhaitez voir appliquer, mais vous devrez avoir le courage de donner une chance aux coureurs. La presse démolira chacune de nos propositions, elle interprètera chacune des paroles et influencera chacun de vos gestes. Aurez-vous le courage de dire non! Ecouterez-vous jusqu’au bout les argumentaires avant de vous faire une thèse sur le sujet?
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