dimanche 24 octobre 2010

Un peu de courage SVP.

Nous souhaitons tous voir des changements dans notre merveilleux monde politique. Les groupes actuels en formation discutent, nous devons agir. Les gens ordinaires ont des idées et il faut écouter. Des solutions simples et non simplistes, de la rigueur dans le travail à faire et une conviction inébranlable dans nos choix de solutions. Pour une troisième voix est à l’étape d’une première rencontre de discussion et d’élaboration d’un plan politique. De nombreux acteurs de tous les domaines seront présents et c’est seulement après cette réunion qu’une décision sans appel sera prise sur les possibilités de création de ce nouveau parti de droite. Aujourd'hui certains ténors du PQ d’autrefois sont venus nous dire qu’ils sont en réflexion. Nous discutons depuis des années sur les choses qui doivent changer. Ils étaient tous de cette équipe de députés qui ont abusé de leur pouvoir pour mettre le Québec dans la situation actuelle et ils voudraient que l’on croie encore à leurs promesses.

Il y a bien d’ADQ d’autrefois, mais pourquoi, le navire se vide t’il de ses matelots. Nous devons être à droite toute, la barre bien attachée afin de faire face à la tempête. Fini les tergiversations, les promesses non tenues et le mal de dos à force de courber l’échine. Ce n’est pas une guerre, mais un combat pour combattre la dette, l’insouciance des politiciens face à leurs devoirs, de la franchise avec l’électorat.

Une force politique nouvelle, loin des dangers de corruption qui guette, une force qui aura de la difficulté à trouver son financement, mais qui devra réussir la ou les autres ont échoué. Si nous croyons en notre avenir, nous découvrirons des comptables, des fiscalistes, des avocats, des ingénieurs, des professeurs et des infirmières prêts à proposer des solutions gagnantes. Tous les corps de métier rassemblés autour d’une saine gestion syndicale. Fini les tordages de bras, d’intimidation, de collusion et trafic d’influence. Nous aurions la chance de n’être pas encore corrompus par le pouvoir, nous pourrions voir venir d’où souffle de vent des demandes amicales.

Ce ne sont pas les fonctionnaires qui sont en cause, c’est l’augmentation des cadres qui s’engouffrent dans les dédales du pouvoir. Ce sont les amis que l’on doit récompenser et qui viennent alourdir la machine qui peine à avancer. Ce sont des structures, des groupes, des réunions inutiles des agences de toutes sortes, et des décisions douteuses qui ont au fil des ans créé le monstre multi tête que représente la fonction publique actuelle.

Les infirmières ne soignent plus, les professeurs n’enseignent plus, ils discutent et participent à des réunions aussi inutiles que nombreuses. Leur force ne sert jamais, ils gèrent des crises internes. Nos impôts font du chemin! Mais à quel prix et surtout à qui va tout l’argent que nous investissons dans ces chantiers. Tout est pourri, admettons-le! Donc, réagissons, soyons prêts pour le prochain rendez-vous avec la population. Ne mentons jamais, n’achetons pas de votes! Restons fiers devant la meute et ne craignons pas les morsures. Je vous demande si oui ou non, nous agirons dans l’intérêt de nos enfants ou si nous courberons l’échine encore une fois en votant pour le mois pire.

C’est une question de courage, en avons-nous encore!

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